Un drôle et curieux nom ,pour ce petit passereau que j'ai découvert il y a quelques semaines au jardin .

Je l'ai aperçu de la fenêtre alors que j'étais occupée à rédiger un article sur le blog .C'était sa première apparition ici , il fallait immortaliser cette rencontre . Depuis je le revois de temps en temps ,il y a quelques jours il picorait les graines de mes myosotis !

Le bruant zizi ressemble au bruant jaune par la taille, la silhouette et le comportement, mais il est en moyenne plus petit et plus compact. Même si leurs airesde répartition et leurs habitats se recouvrent assez largement, la différenciation entre les deux espèces s'effectue assez aisément en raison de la couleur du croupion et des sous-caudales brun-olive terne chez le bruant zizi (et non pas roux comme chez le bruant jaune).
Le mâle présente une face rayée typique : menton, haut de la gorge et trait sourcilier noirâtres, sourcil jaune, trait jaune reliant la base du bec aux parotiques, demi collier jaune sur la partie basse de la gorge, large bande pectorale olive et rousse, autant de caractères qui font qu'il ne peut pas être confondu. Ce dessin est en partie masqué par le liseré des plumes neuves en automne et en hiver. Le croupion olivâtre typique contraste avec le dos couleur rouille et le dessous jaunâtre. La queue allongée affiche un peu de blanc sur les rectrices les plus extérieures. La femelle est très semblable à celle du bruant jaune , mais son croupion est brun-olive grisâtre et strié. Elle possède des motifs foncés sur le fond pâle du côté de la tête. Les épaules présentent une nuance brun-roux, les grandes couvertures alaires sont brun-gris plus unies. Le capuchon est brun olivâtre rayé sans zone centrale plus claire. Le bec a tendance à être plus bicolore.
 Documentation : pour plus d'informations

 Une très belle surprise sans avoir à sortir de chez soi .

En passant un petit clin d'oeil à mon amie morvandelle Martine , une passionnée des oiseaux .

A bientôt .elvy

 Après avoir traversé le village ( au passage je constate que certaines ruines ont été rebâties ), je demande à zom de m'arrêter à son pied .

Puis  je m'engage sur la petite route voisine ,afin d'avoir du recul pour mieux l'observer et le contempler . 

Impressionnant non ?

Tout en marchant et sans le quitter des yeux je pense au 252 saisons dont il a été le témoin . Je me dis que vu d'en haut ou d'en bas  il a du en voir et en entendre de toutes les couleurs , que s'il pouvait parler il en aurait des évènements à nous raconter !!

On lui a refait une beauté ,il le méritait bien  ,car en 63 ans la grisaille et la noirceur du béton  dues au outrages du temps ,avaient colonisé ses flancs . On a aussi changé la clôture et arraché les derniers cupressus qui dataient de la même époque . On a rien replanté autour , ça facilitera l'entretien .

 Un beau champ de colza et un beau ciel bleu le mettent en valeur . Cigüe , bouton d'or , oseille sauvage ,marguerite en boutons sont présents dans la flore !!

 De même que les orchidées sauvages qui sont en avance et fleurissent abondamment cette année .

AH!!! si tu pouvais narrer ton histoire tu dirais que :

 - Je suis ton aînée de deux ans . En effet c'est au printemps  de l'année 1950 qu'ont commencé tes travaux  .  Et quel évènement pour mon village et ceux des alentours .A l'époque ,5 ans après la fin de la guerre , ceux-ci n'avaient pas encore l'eau courante ! C'est à 50 mètres de la maison dans un puits qui était communal ??? que maman allait puiser l'eau . Je me souviens encore de cet endroit que maman m'interdisait d'approcher sous prétexte qu'il y avait " un bonhomme tout noir dedans qui attrapait les enfants ". Le treuil qui supportait la chaîne était usé à force d'avoir tant tourné ,les maillons en fer était oxydés par la rouille et le seau en zinc qui était accroché en permanence à son extrémité portait les traces de ses multiples  réceptions  sur la margelle  . Entre les pierres disjointes poussaient la mousse , le capillaire et cette fougère qui s'appelle " Asplenium  nid d'oiseau " si friande à s'établir dans les lieux humides .

Ta construction avait fait grossir la population du village ,puisque les maisons inoccupées avaient  été réquisitionnées  pour des employés du chantier .La main d'oeuvre masculine était recrutée sur place et dans les environs .Régis , 20 ans le fils du laitier était de ceux -là.J'aimais beaucoup ce jeune homme ,qui me portait sur ses épaules et venait jouer parfois avec moi ,après sa journée de travail  .C'était comme un grand 'frère .

 Une question maintenant !

Avez- vous des souvenirs qui remontent à l'âge de vos 2 ans 1/2?

MOI si !!et pour cause !!

A l'époque , les conditions de travail n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui bien sûr: sans grue , les tonnes de béton étaient montées au fur et à mesure par câbles et poulies ,depuis un treuil en bas de l'ouvrage . La cuve en béton et acier a nécessité un ferraillage impressionnant .et l'ouvrage fût le théâtre d'un tragique accident .

Au matin du 3 novembre 1950 ( j'avais 2 ans et 10 mois) alors que la cuve n'était pas commencée , seule la ceinture était en préparation ,un échafaudage s'est effondré( il me semble bien avoir entendu parler qu'il y en eût un autre avant mais sans dommage) emportant avec lui deux jeunes ouvriers, l'un un père de famille de 26 ans et MON AMI REGIS   

Dès l'annonce du drame,tout le village s'était rassemblé et je me souviens encore ,de son corps que l'on ramenait chez lui dans une brouette !! Bien des années plus tard lorsqu'un jour avec maman nous évoquions nos souvenirs , je lui fis part du mien !

ELLE me confirma la scène, et m'affirma que je ne racontais ,que ce que j'avais entendu !Mais 64 ans après, celle-ci est toujours intacte dans mon esprit et le restera jusqu'à la fin de ma vie .

Autre incident dont tu as été victime ! On pourrait dire que la malchance s'acharnait contre toi , le jour le l'inauguration avec les personnalités de l'époque , un cheval attelé à une carriole a pris peur et  s'est emballé ( de çà je n'ai trouvé aucune trace dans les archives ) dans la foule faisant quelques blessés !!

Bien que je t'ai quitté en 1958 ,je n'ai jamais eu vent d'autres incidents .

J'espère donc qu'avec ton air de renouveau ,tu puisses continuer à voir, qu'il fasse soleil ,qu'il pleuve ,qu'il vente, où qu'il neige ,s'écouler encore beaucoup d'autres saisons . Je suis sûre même que tu me survivras et que tu serviras de phare à mes enfants lorsqu'ils auront vieilli et qu'ils seront à la recherche vraisemblabement à leur tour ,de leurs racines familiales!

 Ta payse !!

ELVY

On en avait besoin puisque la terre avait soif !!!!

Et pourtant avec toute l'eau qui est tombée ,pendant cet hiver ,qui n'en était pas un ,on aurait pu croire être à l'abri de la sécheresse !! Que nenni !!

Il fait triste aujourd'hui , le ciel pleure et le vent gémît fort dans les branches !!!

 Mon moulin est aussi sous les eaux !!!

En attendant que je vous écrive la suite du billet précédent , pour vous ( et les autres ) les amoureux de la nature et des choses naturelles , je vous convie à regarder ce film ,que j'ai découvert hier après-midi sur France 3 .

Il dure un peu plus d'une heure ,mais je suis sûre qu'une fois les dernières images diffusées  vous vous sentirez bien  ,vous aurez une idée de ce que peut être, à l'heure actuelle " le Bonheur ",dans notre société industrialisée , superficielle et égoïste d'aujourd'hui et vous ne verrez plus la vie de la même façon  !!

Vous comme moi allez faire un plongeon dans un passé qui fût le notre et qui n'existe plus , à part de rares exceptions comme celle-ci!

 Vous vous souvenez du Film d'YVES ROBERT :" ALEXANDRE LE BIENHEUREUX " merveilleusement interprété par le regretté et excellent comédien P.Noiret et la jolie Marlène JOBERT ?

Au pays de gascogne et du mousquetaire d' ARTAGNAN , cet  " Alexandre " existe . Il s'appelle Patrick LAMAISON .

Vous pouvez retrouver ses aventures en compagnie de quelques enfants de son village  ,ici

 Passez un bon moment et n'hésitez pas à commenter !!

Bon dimanche à tous . elvy

 A moi !!!!!

Celui qui ,du haut de ses plus de 40 mètres ,me rappelle que mes racines familiales sont à sa base .

On peut l'apercevoir ,dominant le bocage vendéen ,à des lieues à la ronde ( ainsi que plus loin ses triplés de frères du FUITEAU   érigés dans les mêmes années ), lorsque parcourant la D949 BIS , vous avez dépassé de quelques kilomètres ,le bourg de Mouilleron en Pareds ( patrie de G Clémenceau et du Maréchal De Lattre de Tassigny )et que vous vous dirigez vers Chantonnay ( la route de la mer autrefois avant la construction de l' A83).

Je ne l'ai presque pas reconnu , lorsque lundi dernier en allant déposer un brin de rameau sur les tombes de mes êtres chers ,j'ai aperçu sa haute silhouette  toute blanche ,surmontée d'une coupole ,qui me faisait de l'oeil , comme une invite à aller lui rendre visite de plus près .!!

 Ce que nous avons fait , sur le chemin du retour ,et qui fût l'occasion de  tester la mémoire de maman !!

 Nous nous sommes d'abord arrêtés dans ce petit bourg de quelques 1200 âmes , dominé par son magnifique donjon près duquel on a aménagé un jardin médiéval !

 C'est dans le cimetière de la commune ,et parmi toutes ces croix ,que repose depuis le 3 Août 1956 et pour l'éternité le corps de mon père( décédé bien trop tôt ),de mon frère, et de mes grands parents .

J'ai constaté cette année que la tradition d'aller poser des branches de rameaux bénis  est en voie de perdition , même ici ,  qui est une terre de tradition très catholique et pratiquante  !!!

J'ai bien peur qu'après nous ( et la même idée était dans l'esprit d'un couple rencontré dans les lieux ) nos ancêtres soient privés de toutes visites et oubliés à jamais !! c'est pour cette raison que cette année j'ai  mis sur la stèle ,une plaque avec le nom de mon père gravé ,afin que si un jour mes descendants se sentent le besoin de retrouver leurs racines  ,ils le fassent aisément !!!

Après notre visite ,et la porte refermée ( la grille n'est plus aussi rutilante qu'elle a été non plus et mériterait bien une bonne couche de peinture ) ..............................

Quelques kilomètres plus loin ,sur la route qui conduit à mon village natal , je fais une halte devant le château .....

Et sa belle allée de platanes centenaires  ,pour prendre des photos !!!N'étant pas venue dans cet endroit depuis au moins 18 mois ,je m'aperçois que quelque chose a changé !!

L'allée est propre , et le château et ses alentours ont semble -t'il retrouvé, un esprit de renouveau ..Mais d'un coup ,  c'est l'image d'une petite fille de  10 ans qui est apparue à mes yeux . Je me revoyais cheminer en compagnie de maman ,un vendredi soir d'avril 1958 . Ce n'était pas le parcours habituel que nous suivions toutes les 3 semaines lorsque nous nous retrouvions et regagnions notre maison . Pourquoi avions-nous choisi de passer par là ce soir là ?  Il me semble me souvenir que ce devait être en raison de la fête des rameaux du dimanche suivant ,et que nous étions sûres de pouvoir trouver  ici de quoi faire un bouquet ,à benir lors de la messe.  Nos deux valises et mon sac d'école étaient fixés par un tendeur sur la porte bagage du vélo  ,que maman conduisait à côté ,en marchant à pieds .

Dans les secousses ,nous ne nous sommes pas aperçu que ma trousse, qui contenait tous mes crayons s'était échappée de mon sac !!! ce n'est que quelques jours avant de reprendre l'école que je me suis aperçue de sa disparition !! Quelle cata !! à l'époque les fournitures étaient chères et nous ne roulions pas sur l'or !!

 Mais ,au matin de la reprise , quelle ne fût pas ma surprise  ,de  retrouver celle-ci, posée sur mon bureau ! Une personne en passant sur le même chemin , l'avait ramassée et comme mon nom et celui de mon école étaient inscrits à l'intérieur ,elle  l'avait remis dans l'établissement !!

ET hop !!!un quart de tour sur moi-même , c'est un peu brumeux ,mais je zoome  sur le village où j'ai fréquenté l'école de 1952 à 1958 ,et le clocher de l'église où j'ai fait ma petite communion en 1955 !!

 Mais revenons au château !!

Après des recherches sur le net au retour de mon "pélerinage ",je constate que celui que l'on a appelé pendant des générations le Château des Loyau , a changé de propriétaires,et qu'il est devenu un Haras  et a été rebaptisé " le HARAS DES NOCES ".

Pourquoi ce nom  ? Vous le découvrirez comme moi si vous allez lui rendre visite (personnellement pendant les 10 ans ou j'ai vécu auprès ,je n'ai aucun souvenir d'avoir assisté à des noces villageoises dans sa prairie ) .

En tout cas je félicite les nouveaux occupants des lieux qui ont eu paraît-il un coup de coeur  pour cet endroit , et  sont armés de beaucoup de volonté , de courage , de patience ( et de pas mal d'économies ,j'espère !!! !!) pour arriver à sauver un tel patrimoine !!

J'ai toujours beaucoup aimé cette grande prairie( vous trouverez des photos sur le site ) bordée d'un mur , qui longe la route sur des centaines de mètres . En son milieu trône un  pin parasol que j'ai toujours connu ,et au loin parallèle au mur c'est une belle grande allée bordée de cèdres ( il paraît que ces  immenses et vieux arbres , ont eux aussi ,soufferts de la violente tempête de 2010 et qu'on a du en abattre pas mal ),qui conduisait au bois voisin , là où à cette période de l'année , les jacinthes sauvages  forment un immense tapis bleu ,et d'où nous revenions les bras chargés  de fagots de "clochettes " comme nous les appelions !!

 Allez !!! encore un kilomètre et me voici .......

pénétrant dans le village de mon enfance !!

 C'est dans la maison de droite , avec la cheminée , que j'ai vu le jour en 1948 . Mes parents s'étaient installés là ,juste après leur mariage en 1947 !! Je me souviens qu'il y avait une énorme glycine qui courait sur sa façade , et qu'un jour le propriétaire  l'a coupée parce qu'elle devenait trop envahissante et détruisait le mur contre lequel elle était appuyée !! J'ai vécu là , entre mes deux parents ,8 ans des plus belles années de mon enfance  ,jusqu'au drame de cet été 1956 ,  venu perturber ce bel équilibre et qui  a été pour moi le premier grand choc psychologique de ma vie ,et m'a marquée  à tout jamais !!

On se rapproche de mon phare et je m'aperçois que sa couleur  n'est pas uniforme !!!

Un premier arrêt sur les lieux s'impose !!

 Là , c'était la maison de mes grands- parents ,et celle de la soeur de mon grand- père .  En observant les alentours ,je constate qu'on a fait un gîte dans les ateliers de la maison voisine , là où mon père aimait travailler le bois lorsqu'il pleuvait et qu'il ne pouvait aller aux champs !!tiens je sens encore l'odeur des copeaux  et celle de la brioche qu'il cuisait pour Pâques dans le four à pain tout proche !!

Mais les mots courent sur le clavier  ..

Et du " phare " je n'ai point encore parlé ......

Je vous raconte son histoire au prochain  billet ..

Bonne journée . ELVY

Bonnes et joyeuses fêtes de Pâques à toutes et à tous .

Je vous retrouve la semaine prochaine .

Bisous . ELVY

Etant une fille de la terre ,et par conséquent, une  amoureuse de la nature , je m'intéresse de plus en plus aux oiseaux qui peuplent ma campagne !!

Je côtoie régulièrement des  amis des ornithologues amateurs ,très bien équipés matériellement , qui participent souvent avec leurs photos agrémentées de textes à l'élaboration du magazine ornithologique du département et qui sont heureux de me faire partager leurs découvertes en avant première !!

 C'est ainsi que, dernièrement ils ont pu avoir le plaisir d'observer le  hibou moyen duc au bout de leurs objectifs !!

 Le hibou  moyen duc fait partie de la familles des rapaces nocturnes dont l'espèce est protégée ! Il est donc très rare de pouvoir l'apercevoir en plein jour avec les yeux ainsi grands ouverts .

Il a fallu des jours de repérage de ses habitudes ,puis des moments de guet  dans la plus grande discrétion possible pour arriver à le fixer sur la pellicule .

Pendant que madame la duchesse  couve .......

 Monsieur le Duc , fait la sentinelle dans le laurier sauce  !!

Avec ses 35 cm de long (env.), le moyen-duc est légèrement plus petit et plus menu que la Chouette hulotte. Sa tête est surmontée de deux grandes aigrettes souvent dressées : on dit qu'il 'fronce les sourcils'. Et d'ailleurs, elles sont couchées quand le hibou est serein. Ses yeux jaune-orangé sont au centre d'un disque facial arrondi beige/roux. Il a une longueur de 31-37 cm, un poids de 250 g pour les mâles ou de 300 g les femelles. Son envergure est de 86 à 98 cm

 À la saison des amours, un « hou hou hou hou » audible au loin, et aussi des bruits presque sifflants. Il met en garde par un « wupp wupp ».

Affectionnant principalement les petits mammifères (surtout des campagnols 78 % et mulots 15 %), mais aussi les passereaux (moineaux, pinsons), et parfois des coléoptères, il chasse dès la tombée de la nuit. De jour, il se cache dans les branchages épais où il se tient immobile et ainsi se fond dans le décor grâce à son plumage à l'aspect d'écorce au-dessus brun/roux marbré de brun foncé, et le dessous est plus clair, parfaite tenue de camouflage.

Jouant les squatters, vers la fin mars-avril, il recherche un nid abandonné pour s'y installer après l'avoir remis légèrement en état. La femelle y dépose 4 à 6 œufs d'un blanc parfait qu'elle couve seule pendant 28 jours. Elle commence à couver dès le premier œuf pondu, de sorte que les petits éclosent progressivement. Le mâle pendant ce temps la nourrit puis après l'éclosion, nourrit toute la famille en remettant ses proies à la femelle qui se charge de la distribution. Les jeunes hiboux quittent le nid au bout de 21 à 26 jours.

 Le hibou moyen-duc bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire^[1]. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.

 Voilà  c'était mon bonheur simple du jour !!!

Bonne nuit . ELVY

PS ;  Merci aux deux Gérard  pour leurs photos !!

Il fait beau ...

Alors en attendant que fleurissent l'églantine et le lilas ,

            je suis au jardin

En juin prochain ......

La semaine dernière , profitant de deux beaux jours de plein soleil , au Jardin du Gué de FLAIS ,les hommes, étaient affairés à la taille des rosiers ,pendant que les dames au potager plantaient des alliacées .

C'est tout naturellement ,que les propriétaires des lieux m'avaient invitée à venir assister à un  cours de taille .Cette année la pousse est en avance ,il a donc fallu tailler au mieux pour ne pas perturber les floraisons  à venir, qui s'étaleront sur plusieurs semaines à partir de début  juin  !

Les jardins du Gué ,ont reçu en 2013 ,le grand prix du concours national des potagers de France , dans la catégorie des jardins potagers innovants.

Je n'avais pas encore eu l'occasion de visiter les lieux au printemps, et je dois dire, qu'on a une autre vision de ceux-ci , en cette saison , et surtout que la lumière y est tout à fait différente !

 Après être sorti cet hiver  plusieurs fois et pour plusieurs jours de son lit , le THOUET , avait retrouvé son cours normal et ses eaux ruisselaient  calmement dans un bruit de doux clapotis .

Les plumets rouges des feuilles des Photinias  ,tranchent sur la blancheur neigeuse du cognassier du Japon , tandis que les premières feuilles du saule tortueux commencent à recouvrir les rameaux !!

Forsythias , cerisier du japon , noisetiers tortueux , euphorbes ,resplendissent dans la lumière de l'après- midi .

Au potager les choux panachés de la saison passée ,vont bientôt  laisser la place à de nouvelles boutures !!

Et  au pied de ce totem ,dans quelques semaines le sureau sanguin sera au maximum de son éclat .

C'est la fin de la visite ,

mais j'y reviendrai à la fin du mois pour chercher des tubercules de dahlias !

 Bonne journée . elvy